**Appel public : Kim’ha DéPiss’ha pour les familles démunies – par la sainte communauté de Shouvou Banim**
Des familles entières de notre communauté sont confrontées à cette question troublante : « Où trouveront-elles les sommes nécessaires pour faire face aux nombreuses dépenses de Pessa'h, et à quoi ressemblera leur nuit du Séder ? »
Ichoud ‘Hassidé Breslev reconnaît ce besoin immense et a pris sur lui la responsabilité écrasante d’apporter l’aide nécessaire à chaque famille de notre communauté qui en a besoin.
À quelques jours seulement du début de la sainte fête de Pessa'h, nous faisons de grands efforts pour fournir un panier alimentaire digne à toutes les familles nécessiteuses. Cependant, les dépenses sont énormes, et nous sommes encore loin du montant requis.
C’est pourquoi nous lançons un appel à chacun et chacune d’entre vous pour contribuer directement à cette entreprise vitale : Kim’ha DéPiss’ha.
Avec votre aide, ces familles pourront entrer dans Pessa'h avec dignité et sérénité, sachant que, Bé’ézrat Hachem, cette fête sera pour elles aussi un moment de joie véritable.
Pour faire un don direct au fonds Kim’ha DéPiss’ha destiné aux familles pauvres de la sainte communauté de Shouvou Banim, cliquez ici.
Après avoir distribué avec succès Kim’ha DéPiss’ha à 1 500 familles l’année dernière, nous espérons, avec votre soutien, atteindre au moins ce même objectif cette année encore.
Sont déjà bien connues les paroles saintes du Tsaddik et Gaon, Morénou HaRav Eliezer Berland chlita, qui appelle chacun à être le Na’hchon ben Aminadav de notre génération — à sauter dans les eaux profondes et à donner généreusement au Am Israël, afin que lui aussi puisse accueillir la fête dans la joie et la tranquillité, tout comme vous.
Paroles de Morénou HaRav Eliezer Berland chlita à ceux qui contribuent au Kim’ha DéPiss’ha :
« L’homme doit sauter dans l’eau.
Lorsqu’une personne donne la tsédaka [et à plus forte raison pour une mitsva aussi importante que Kim’ha DéPiss’ha pour les familles pauvres du Tsaddik], cela s’appelle sauter dans l’eau.
Il est écrit : ‘Car sa vie en dépend.’
Tu lui donneras son salaire le jour même, car sa vie en dépend.
L’argent, c’est le sang (damim), le cœur d’une personne.
Quelqu’un travaille huit heures par jour, ou seize heures. Il travaille trente jours.
Il fait de grands sacrifices pour son travail, surtout en hiver.
Toute la journée, il est absorbé à gagner sa subsistance, et soudain, on lui dit — saute dans l’eau ! Donne tout à la tsédaka ! Ne garde même pas une pièce pour toi — tu verras que tu vivras des miracles qui n’ont encore jamais eu lieu depuis la création du monde.
Toute personne qui donne la tsédaka verra immédiatement son sort se transformer, et deviendra la personne la plus riche du monde, plus que Rothschild. »
Cette année, grâce à votre soutien généreux, nous aspirons à aider encore plus de familles et à leur fournir davantage d’articles essentiels afin de répondre pleinement à leurs besoins pour la fête.
Pour faire un don direct au fonds Kim’ha DéPiss’ha destiné aux familles nécessiteuses de la sainte communauté de Shouvou Banim, cliquez ici.


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